INTRODUCTION :
Dans un monde en quête de durabilité, le choix de matières écoresponsables pour vos vêtements devient une démarche très importante, mais parfois compliquée. Quels labels ? Quelles matières ? Vous ne savez plus où donner de la tête…
Dans cet article, nous allons vous expliquer pourquoi il est essentiel de comprendre les différentes catégories de matières écoresponsables, qu’elles soient d’origine végétale, animale, artificielle ou recyclée. Puis, nous explorerons également l’importance de se fier aux labels textiles pour identifier des matières respectueuses de l’environnement, et nous partagerons des méthodes pratiques, telles que la méthode BISOU et GREEN, pour vous guider vers des choix plus durables pour l’environnement.
Les différentes catégories de matière éco-responsable
Pour savoir comment reconnaître une matière éco-responsable, il faut d’abord connaître les différentes catégories de matières avec leurs points faibles et leurs points forts.
Les matières végétales
On va donc commencer par les matières végétales qu’on a tendance à vite classer dans la catégorie écologique alors que ce n’est pas toujours vrai.
La plus connue, c’est bien sûr le coton. Cette fibre naturelle végétale se récupère sur la graine de l’arbuste du cotonnier.
Contrairement à ce qu’on peut penser, elle est assez peu écologique car sa culture nécessite beaucoup d’eau et de pesticides (plus de 12 tonnes de pesticides pulvérisés sur les champs de coton dans le monde d’après l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture). Côté humain ce n’est pas bien mieux : plus de 500 000 Ouïgours produisent 20% du coton mondial dans des camps de travail forcé à l’ouest de la chine d’après de récentes estimations issues du livre Fashion de Catherine Dauriac.
Pour éviter de participer à ce désastre social et écologique, il est important de privilégier du coton bio qui est moins consommateur d’eau et surtout de pesticides. C’est encore mieux s’il est certifié GOTS. Ce label garantit des conditions de travail dignes pour les agriculteurs et les ouvriers.
La deuxième matière naturelle la plus connue, c’est le lin. Cette fibre végétale est cultivée majoritairement en France. Sa culture demande beaucoup moins d’eau que le coton, et très peu, voire aucun produit chimique. C’est la parfaite alliée de votre garde-robe éthique !
Nous vous proposons de retrouver cette matière dans notre tissu bleu Dunkerque qui est constitué de 77% de coton et 23% de lin.
Nous vous proposons de retrouver cette matière dans notre tissu bleu Dunkerque qui est constitué de 77% de coton et 23% de lin.
Et la troisième matière naturelle, un peu moins connue, que nous souhaitions vous présenter ici, c’est le chanvre. Elle est aussi appelée Cannabis Sativa et fait partie de la famille des cannabinacées (mais rien ne sert de le fumer, son taux de THC est nul).
C’est une plante avec une grande tige que l’on va récupérer pour faire du fil. C’est vraiment LA fibre écologique par essence. Elle n’a pas besoin d’être irriguée sauf au tout début de sa croissance et surtout, elle n’a besoin d’aucun pesticide. Elle pousse de façon très dense ce qui la protège des attaques extérieures. Elle permet aussi de régénérer les sols, en la couplant avec une agriculture alimentaire bio par exemple. Cela permet de faire une rotation des cultures.
Les matières animales
On passe maintenant aux matières naturelles d’origine animale, en commençant par la laine. La laine provient, comme vous devez le savoir, de la toison du mouton.
Selon le livre “Fashion” de la journaliste engagée Catherine Dauriac, il faut la toison complète d’un mouton pour faire un seul pull. À la fin du processus de transformation de la laine, il reste à peine 30% du pelage d’origine. Cela demande beaucoup d’étapes pour finalement peu de résultat, et un manque à gagner pour la plupart des éleveurs.
Un mouton doit néanmoins être tondu pour sa santé, il ne peut pas tenir plusieurs années sans être tondu. Du coup, les éleveurs se retrouvent à brader leur laine à des usines chinoises. Et malheureusement, pour des raisons de rentabilité, la tonte se fait parfois dans des conditions épouvantables pour les animaux.
Beaucoup des laines trouvées dans les magasins ne sont ni écoresponsables, ni éthiques. Il n’y a aucun contrôle sur le traitement des animaux.
Le bilan carbone non plus n’est pas très bon. Cette laine fait le tour du monde pour être transformée en Chine et les produits chimiques, utilisés pour laver la laine, sont rejetés dans les rivières.
Pour toutes ces raisons, il est crucial de choisir de la laine tracée, qui garantit le bien-être des moutons et de la planète. On peut se fier à des labels comme le Responsible Wool Standard, ou label Nativa.
C’est pourquoi chez Yvonne et Morice, nous avons choisi, lorsque nous ne faisions pas appel à des stocks dormants, d’utiliser de la laine de moutons français, lavée en Haute-Loire et filée en Ariège. En travaillant avec la coopérative Virgocoop, nous avons une grande transparence sur le circuit de transformation.
Vous pourrez retrouver la laine dans de nombreux tissus que nous proposons, les tissus Collioure, Arles, St-Léonard, Manosque, Epernay, St Malo et Saumur.
La seconde matière naturelle d’origine naturelle la plus connue, c’est bien sûr le cuir qui est fait à partir de la peau de différents animaux (principalement des peaux de bovins).
La majorité des peaux provient de l’industrie agroalimentaire qui revalorise plus de 170 000 tonnes de peaux brutes chaque année. Outre certains reptiles élevés malheureusement seulement pour leur peau, le cuir est un produit plutôt écoresponsable ; réutilisation des déchets de l’agroalimentaire, la durabilité et solidité de la matière.
Le bien-être animal et le tannage restent toutefois des points d’attention pour évoquer le cuir comme une matière éthique et écoresponsable. Une fois la matière principale récupérée, on va venir la tanner soit de manière minérale (utilisation de chrome très polluant) ou végétale (technique plus écologique, mais très peu utilisée).
Une solution pour s’assurer de l’absence de ces points négatifs est d’utiliser des matières certifiées comme celle OEKO-TEX leather standard que nous découvrirons en détail plus bas. Il est aussi possible de faire appel à d’autres alternatives comme le cuir végétal tel que l’Apple Skin fait à partir de déchets de pommes.
Les matières artificielles
Nous allons maintenant découvrir si les matières artificielles sont écoresponsables.
Une fibre artificielle est faite à partir d’un composant d’origine naturelle, la plupart du temps de la pulpe de bois, que l’on va venir transformer chimiquement. C’est donc un procédé assez trompeur. La communication sera plutôt faite sur le côté vertueux de la fibre en bambou, alors qu’en réalité, elle a été transformée avec beaucoup de produits chimiques.
On va donc commencer par la fibre artificielle la plus connue, la viscose.
Elle est faite à partir de cellulose de bois (pâte de bois ou copeaux) sur laquelle on va appliquer un processus de transformation chimique très lourd pour obtenir le fil final. La viscose peut être un désastre écologique puisqu’elle participe souvent à la déforestation et renvoie des produits chimiques dans les rivières. Ce qui provoque d’importants problèmes de santé aux populations locales.
Pour limiter son impact, encore une fois, il est important d’utiliser des viscoses certifiées écovero par exemple, comme le sont nos doublures Evenos et Montignac, et encore mieux issu de forêt durable.
Heureusement, il existe désormais d’autres alternatives à la viscose : le tencel ou le lyocell. Ce sont des fibres également faites à partir de pulpe de bois issu majoritairement de l’eucalyptus.
Les solvants chimiques utilisés sont non toxiques, et 90% sont récupérés pour être réutilisés. De plus, cette matière utilise cinq fois moins d’eau que le coton, et elle est issue de la fibre de bois de forêts durables européennes.
C’est pour cela que nous avons choisi l’offre Sensa Green de Madeira pour les fils de broderie blancs, noirs, gris argentés et rouges, réalisés à 100% en Lyocell.
Autre nouveauté du côté des matières écoresponsable : la fibre de ricin.
Cette matière artificielle est faite à partir de la récupération de l’huile de la graine de ricin. Elle est très peu consommatrice d’eau, biodégradable, et beaucoup plus résistante dans le temps que le polyester. Le parfait combo entre une matière éthique et écoresponsable !
Les matières recyclées
La dernière catégorie de matières écoresponsables à vous présenter sont les recyclés.
Mais avant cela, nous voudrions revenir sur une catégorie que nous ne vous avons pas présentée : les matières synthétiques. Elle regroupe tous les textiles avec de jolis (ou pas) noms comme polyester, nylon, polyamide, acrylique… En matière d’écoresponsabilité, les matières synthétiques sont à proscrire. Elles sont toutes issues du pétrole et par conséquent très polluantes et surtout épuisables.
Et c’est là qu’interviennent les matières recyclées !
Le polyester recyclé est, par exemple, une alternative plus écologique que le polyester tout court. Il ne nécessite pas de puiser dans de nouvelles ressources pétrolières.
Comme autre alternative, on retrouve aussi l’Econyl créé par l’entreprise Aquafil. Ce procédé récupère les déchets plastiques des océans (filet de pêche, bouteilles…) pour les transformer en tissu.
Autre exemple avec Q-NOVA inventé par l’entreprise Fulgar. Elle récupère les chutes de nylon des industriels et les mélange avec du polyester recyclé issu de bouteille pour en faire un tissu. Son procédé de fabrication est entièrement mécanique et n’utilise pas de ressource chimique supplémentaire.
Même si ces innovations sont encourageantes, le recyclage de matières synthétiques n’est pas une solution miracle. À chaque fois qu’on lave nos vêtements synthétiques en machine, des particules plastiques s’échappent et atterrissent dans nos océans. D’après l’ADEME c’est plus de 1400 tonnes de microplastiques qui seraient rejetées…
Se fier aux labels pour reconnaître une matière éco-responsable
Maintenant que l’on connaît en détail les différentes catégories de matières écoresponsables, nous allons essayer de comprendre les différents labels textiles écoresponsables qui peuvent nous guider dans notre choix de tissus.
Les labels OEKO-TEX
Le label textile incontournable à connaître en matière d’éco-responsabilité, c’est celui d’OEKO-TEX. Il se divise en 3 catégories :
- L’OEKO-tex standard 100. Les matières et produits finis sont testés en laboratoire pour garantir qu’ils ne soient pas toxiques pour la santé humaine, et qu’ils respectent la réglementation européenne du REACH (= règlement européen pour sécuriser l’utilisation des substances chimiques dans l’industrie).
A noter que ce label ne prend pas en compte l’aspect social dans le processus de fabrication des textiles. C’est donc un bon début en termes d’éthique, mais pas suffisant.
- L’OEKO-TEX leather standard regroupe les cuirs testés en laboratoire pour garantir qu’ils ne soient pas toxiques pour la santé humaine et qu’ils n’impactent pas l’environnement.
A noter que ce label ne prend pas en compte le bien-être animal.
- L’OEKO-TEX Step, propose les mêmes certifications que le standard 100, mais avec également un contrôle des conditions de production sur le volet environnemental et social. C’est donc le label à privilégier.
Les labels autour du BIO
Une matière bio désigne un tissu produit dans le respect de l’environnement et avec des fibres végétales ou animales issues de l’agriculture biologique. On retrouve plusieurs labels qui certifient l’aspect biologique d’un tissu :
- Le label GOTS (global organic textile standard) est une des références en la matière. Il est ultra-global dans son approche puisqu’il garantit l’absence d’OGM, de pesticides et de produits chimiques dangereux, une gestion écologique des eaux usées et le respect du droit international du travail. Il certifie des matières comme le coton, la laine, la soie et le chanvre.
- L’OCS 100 assure que la matière contient un minimum de 95% de coton bio, et contrôle aussi la chaîne de production au global (sauf la partie agricole). Ce label ne doit pas être confondu avec OCS blended qui lui demande seulement 5% de matière première biologique.
Ces labels peuvent vous guider dans l’achat de matières écoresponsables. Néanmoins, attention au coton biologique qui reste une économie de masse. Le coton, d’une façon générale, est la fibre naturelle la plus utilisée pour l’habillement. De fait, elle a un fort impact écologique, mais également sur le respect des droits de l’homme. Excepté si le coton est certifié GOTS, il n’y a aucune garantie que ton tee-shirt en coton BIO n’ait pas été fabriqué par un enfant ou un esclave Ouïghour.
S’informer pour connaître les labels
Il existe beaucoup de labels, souvent spécifiques à une matière, comme les labels pour la laine que nous vous avons citée plus haut ou encore la viscose écovero.
Le mieux est d’éviter les labels qui vous semblent trop marketing du type “élu meilleur produit” et de regarder les engagements de la marque dans leurs globalités.
Le livre “La face cachée des étiquettes” de Thomas Ebélé et Eloise Moigno de Slow We are est une mine d’information qui peut vous aider à décrypter les étiquettes de vos vêtements et vous assurer des engagements des marques que vous achetez. Vous pouvez aussi vous tourner vers le livre plus accessible “Mon dressing heureux” de l’influenceuse Céline Séris du blog Iznowgodd.
Des méthodes pour ne plus se tromper de matière
Maintenant que vous connaissez l’essentiel des matières et des labels, nous aimerions vous donner des méthodes qui vont vous aider à choisir des matières écoresponsables dans toutes les situations.
Prendre en compte tous les facteurs
La première chose à faire quand vous décidez d’acheter un vêtement “éthique”, c’est de ne pas vous concentrer uniquement sur la matière, mais de regarder la marque dans son ensemble.
En matière de mode, il existe beaucoup de cas de greenwashing. Par exemple, certaines grandes marques mettent en avant le côté durable de leur produit, alors que les conditions de travail de leurs employés sont désastreuses.
Vous devez donc regarder les engagements de la marque dans sa globalité : Est-elle transparente sur ses procédés de fabrication ? Où fait-elle produire principalement ? De quelle manière ? Fait-elle des dons à une cause ? Quelle est sa mission d’entreprise ?
C’est un bon début de proposer des matières écoresponsables, mais cela reste insuffisant. Il n’y a pas que cela qui compte.
Une marque qui propose seulement une capsule de produits écoresponsables, c’est assez mauvais signe. À l’inverse, une marque qui se dit en cours de réflexion et qu’elle fait de son mieux mérite notre attention. Sa démarche est plus pertinente en sachant qu’aujourd’hui, ça reste impossible d’être 100% éthique dans le textile.
Chez Yvonne et Morice voici nos engagements :
- Tracer le maximum de nos ressources et matières premières.
- Faire appel à des fournisseurs français et/ou à de la seconde main.
- Travailler avec des organismes tels que Virgocoop en Occitanie.
- Penser nos produits pour qu’ils soient les plus durables possibles.
- Inciter à une consommation responsable.
- Pratiquer une politique du prix juste.
- Livrer vos vestes dans des colis utilisant un minimum de matières non renouvelables afin d’éviter le plus de déchets possible liés aux emballages.
- Utiliser nos propres chutes de tissus pour réaliser de petits produits annexes.
Méthode GREEN
Une deuxième méthode que nous aimerions vous montrer est celle du GREEN. Elle a été mise au point par Slow We are, et permet d’éviter le greenwashing et le socialwashing en décryptant les discours des marques :
- G gratter le discours marketing : L’objectif est d’aller un peu plus loin dans le discours. Si le discours reste très généraliste avec des termes génériques comme “bon pour la planète” ou “écologique” ou “conscious” sans preuve de label ou de chiffre, c’est à fuir.
- R repérer les imprécisions : Certaines marques utilisent un effet d’exagération en indiquant par exemple “100% coton naturel”. Lorsque l’on sait que tout le coton est issu d’une fibre naturelle, on peut se demander si, ici, on ne cherche pas à cacher le fait que le coton n’est pas biologique. On crée l’amalgame chez le consommateur en faisant un rapprochement entre naturel = écologique, alors que ce n’est pas la même chose.
- E évaluer : Ici, l’objectif est de regarder les labels exacts et de vérifier s’ils vous semblent fiables. Par exemple, si vous voyez que la marque parait être la seule à utiliser ce label, c’est peut-être une invention marketing de leur part.
- E examiner les étiquettes : C’est seulement maintenant que l’on va pouvoir examiner la composition pour voir si la matière est écoresponsable. D’où provient le produit ? Quelle est la matière ? Attention aux allégations trompeuses comme
- En France, pour annoter “made in France” la législation demande de : “tirer une part significative de sa valeur d’une ou plusieurs étapes de fabrication localisées en France. Avoir subi sa dernière transformation substantielle en France.” La législation reste assez floue, et crée ainsi un vide juridique. C’est ainsi que certaines marques réalisent seulement quelques étapes, voire la dernière étape de fabrication de leur produit en France.
- N nécessiter : L’objectif ici est de regarder la démarche au global de la marque et voir si elle te semble cohérente. Comme nous le disions précédemment, aucune marque n’est parfaite. Néanmoins, est-ce qu’elle essaye de s’améliorer au fil des années sur des points importants comme ceux de la santé humaine, du bien-être animal, de l’environnement, et des conditions de travail ?
Méthode BISOU
Une autre méthode incontournable et facile à retenir pour passer à l’achat, c’est la méthode BISOU extraite du livre “L’abus de consommation responsable rend heureux” de Marie Duboin Lefèvre et Hervelin Verdeken.
Cette technique d’aide à la prise de décision d’achat responsable d’un vêtement. Elle se décompose en 5 points :
- B besoin : à quel besoin psychologique/émotionnel répond ce vêtement ? réconfort ? estime de soi ? reconnaissance sociale ?
- I immédiat : en ai-je vraiment besoin maintenant ? est-ce que je peux attendre un peu avant de l’acheter, ou est-ce qu’une réduction me pousse à l’achat ?
- S semblable : est-ce que j’ai déjà des vêtements identiques ? Certains utilisent le concept de 1 vêtement qui rentre dans ma garde-robe = un vêtement qui en sort.
- O origine : quelle matière, quel label ? quelle méthode de production ?
- U utile : est-ce que ce vêtement est réellement utile ? pour me protéger de la pluie, faire du sport… et comment je faisais avant pour m’en passer ?
Le concept de garde-robe capsule
Maintenant que vous avez compris comment choisir un vêtement avec une matière éco responsable, nous aimerions qu’on prenne un peu de recul en découvrant le concept de garde-robe capsule.
C’est un constat: on porte en moyenne 80% du temps, 20% de notre dressing. Alors autant se diriger sur cette partie de notre dressing et garder seulement l’essentiel.
C’est de cette idée qu’est né le concept de garde-robe capsule. Il consiste à avoir par saisons seulement 30 pièces (chaussures comprises) que l’on va pouvoir interchanger facilement pour créer une infinité de looks.
Cette façon d’envisager le vestiaire, c’est aussi notre vision chez Yvonne et Morice puisqu’on vous propose de créer VOTRE veste personnalisée qui vous ressemblera et qui durera dans le temps. Elle fera partie des pièces iconiques de votre vestiaire que vous pourrez associer facilement avec d’autres pièces de votre garde-robe. Si par exemple vous décidez d’acheter notre veste Cécile en la customisant façon veste marine vous pourrez facilement imaginer une dizaine de looks avec.
CONCLUSION
En choisissant des vêtements écoresponsables de marques engagées, nous devenons les acteurs d’un changement positif dans l’industrie de la mode !
En comprenant les différentes catégories de matières, en se fiant aux labels de qualité environnementale comme le label GOTS, et surtout en adoptant des astuces simples comme la méthode BISOU et GREEN, nous pouvons transformer notre acte d’achat en une contribution significative à la préservation de notre planète. Chez Yvonne et Morice, on rêve d’une mode plus vertueuse et juste. Ensemble, faisons de nos choix vestimentaires l’expression de notre engagement envers un avenir plus durable !